Athènes
Cité hétéroclite, protéiforme, où la grandeur de la démocratie antique subsiste dans les quelques roches sculptées survivantes que l’on peut rencontrer, au détour des commerces de proximité, des immeubles d’habitation et des musées d’antiquités.
Où les vitrines de magasins de costumes, cravates et autres noeuds papillons, de luxe et artisanaux, jouxtent les restaurants de gyros sur place et à emporter. Une cité où toutes les facettes de la culture grecque sont à portée de regard et au creux de nos mains.
L’Acropole
Où que vous soyez à Athènes, pourvu que vous trouviez un balcon élevé, le sommet d’un immeuble, quelque colline lointaine, un terrain vague quelque peu aéré, ou un parc, la colline plurimillénaire se dressera fièrement dans un coin de votre regard. Le soir venu, des spots lumineux s’éveillent pour réfléchir jusqu’à vous la couleur du marbre du Parthénon .
Les îles
A quelques kilomètres, à portée de navire… Siègent fièrement les îles de l’archipel grec. Hydra, où des maisonnées d’un blanc immaculé s’amoncellent dans la gorge du port, entre les escaliers labyrinthiques et les boutiques de souvenir, promesse de rapporter chez soi un fragment de la culture du pays.
Poros, l’île du dieu marin au trident, où au printemps, le bleu turquoise de ses eaux est aussi éclatant, le jour, que la voûte céleste au-dessus de nous. Ou encore Egine, dont l’église orthodoxe siège non loin du temple d’Aphaïa, où les époques lointaines s’observent à quelque pas les unes des autres, parmi les plantations de pistaches.